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Histoire porno : Fantasme épouse offerte à l'hôtel


Julie n’avait pas de doute : son mari préparait quelque chose de particulier. Depuis quinze ans, leur couple avait connu des hauts et des bas, mais elle savait reconnaître ses humeurs. Ce soir-là, il lui avait simplement dit de réserver sa soirée et de se rendre dans une suite qu’il avait choisie dans un hôtel un peu chic de la périphérie. Elle s’était préparée avec soin, sans vraiment savoir ce qui l’attendait : une robe légère, des sous-vêtements choisis avec attention, une douche longue pour se sentir fraîche de partout.

Julie n’avait pas de doute : son mari préparait quelque chose de particulier. Depuis quinze ans, leur couple avait connu des hauts et des bas, mais elle savait reconnaître ses humeurs. Ce soir-là, il lui avait simplement dit de réserver sa soirée et de se rendre dans une suite qu’il avait choisie dans un hôtel un peu chic de la périphérie. Elle s’était préparée avec soin, sans vraiment savoir ce qui l’attendait : une robe légère, des sous-vêtements choisis avec attention, une douche longue pour se sentir fraîche de partout.

Quand elle poussa la porte de la suite, elle eut un instant d’étonnement. Sur le lit, une boîte en carton et un petit mot plié en deux l’attendaient. Elle posa son sac, défit sa robe, puis prit le papier dans ses doigts.

« Ce soir, tu vas suivre mes instructions. Dans le carton, tu trouveras un bandeau. Mets ta lingerie, allonge-toi sur le lit et bande-toi les yeux. Quand tu es prête, envoie-moi un SMS. À partir de là, tu ne parles plus. Tu profites. Tu retires le bandeau seulement à la fin. »

Un frisson la traversa. Julie se rendit dans la salle de bain, laissa l’eau chaude ruisseler sur sa peau, se savonna lentement, jusqu’à sentir son corps vibrer d’anticipation. Elle se sécha avec soin, se parfuma légèrement. Elle enfila son ensemble préféré : un soutien-gorge noir en dentelle fine, une culotte assortie, des bas retenus par des jarretelles. Puis elle sortit le bandeau de la boîte. Ses mains tremblaient quand elle le posa sur ses yeux.

Allongée sur le lit, elle envoya le SMS : « Je suis prête. »

Quelques minutes plus tard, elle entendit des pas. Son souffle s’accéléra. Le matelas s’enfonça sous un poids, puis des doigts saisirent ses poignets. Le cliquetis métallique d’une menotte. Puis une autre. Ses chevilles furent immobilisées, écartées. Elle était offerte, vulnérable, et cela l’excitait plus qu’elle n’osait l’avouer.

Une bouche chaude se posa sur son ventre, puis sur ses seins, puis sur sa bouche. Elle reconnut son mari : son odeur, son goût, sa manière de l’embrasser. Il murmura à son oreille :
— « Ce soir, tu ne dis rien. Tu profites. »

Elle haletait, déjà trempée.

Puis, un silence. Une autre présence. Une odeur différente, plus jeune, plus brute. Un souffle inconnu. Julie tressaillit. Son mari lui avait fait croire qu’il n’était pas intéressé quand elle avait parlé, trois mois plus tôt, des clubs adultes ou de s’inscrire sur nuitcool.com pour trouver un partenaire. Mais il l’avait écoutée. Et ce soir, il lui offrait ce fantasme.

Une autre bouche se posa sur sa peau. Des lèvres plus timides au départ, puis plus gourmandes. Une langue suivit la ligne de son ventre, s’attarda sur son nombril, descendit encore. Elle gémit. Ses jambes, attachées, s’écartèrent malgré elles. Une main repoussa sa culotte. Une langue se posa sur son clitoris.

Julie cria. Ses poignets se tordirent dans les liens. L’inconnu la léchait avec application, comme s’il avait attendu ce moment toute sa vie. Ses doigts pénétrèrent sa chatte humide, cherchant le point qui la faisait hurler. Dans le fauteuil au coin de la pièce, son mari observait, le sexe dur sous le tissu, profitant de chaque seconde.

Elle sentit ensuite une queue se frotter à son sexe. Plus ferme, plus épaisse. Lentement, elle fut pénétrée. Un râle s’échappa de sa gorge. Le jeune homme l’emplit entièrement, ses coups réguliers, profonds. L’odeur de sueur et de désir emplissait la pièce. Julie jouit une première fois, son corps se cambrant, secoué de spasmes.

On la retourna sur le ventre, son visage contre l’oreiller. L’étudiant la prit en levrette, ses hanches claquant contre son cul. Ses seins ballottaient, ses cris étouffés résonnaient dans la chambre. Elle jouissait encore, sans répit.

Puis, quand elle croyait avoir tout vécu, elle sentit un doigt glisser entre ses fesses. Lubrifié. Elle sursauta, gémit. Son mari savait : elle avait évoqué ce fantasme sans jamais oser l’accomplir. Le jeune homme enfonça son sexe dans son anus, lentement. Julie hurla, moitié douleur, moitié plaisir. Son cul l’engloutissait, brûlant. Elle se sentit brisée et comblée à la fois.

Le jeune homme la sodomisa longtemps, ses mains sur ses hanches, ses coups de reins brutaux mais réguliers. Julie criait, ses cuisses tremblant, ses poignets marqués par les liens. Le bandeau collait à ses tempes de sueur. Elle jouit encore, plus fort, son corps secoué d’orgasmes incontrôlables.

Quand enfin il jouit, son sperme brûlant la remplit. Julie s’écroula, haletante, incapable de bouger. Ses liens furent détachés. Elle sentit la main de son mari sur sa joue, douce. Sa bouche sur la sienne, tendre.
— « Tu peux retirer le bandeau. »

Elle ouvrit les yeux. Son mari était là, torse nu, assis dans le fauteuil. À côté, l’étudiant essuyait son front, un sourire timide aux lèvres.

Elle se redressa, tremblante. Ses cuisses encore luisantes, ses seins marqués, son corps saturé d’odeur de sexe. Son mari s’approcha, la prit dans ses bras, et murmura :
— « C’était ton cadeau. Tu as aimé ? »

Julie hocha la tête, incapable de parler.

Puis, alors qu’elle croyait la nuit terminée, son mari la fit allonger de nouveau. Cette fois, c’était lui qui la prit. Avec rage, avec passion, avec une jalousie douce qui rendait chaque coup de reins plus profond. L’étudiant, encore haletant, les regardait, fasciné. Julie jouit encore, offerte à son mari après avoir été offerte à un autre.

Quand enfin le silence retomba, ils s’écroulèrent tous les trois, trempés de sueur. Julie comprit alors que leur couple venait de franchir une frontière, et qu’il n’y aurait plus jamais de retour en arrière.

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